he sexted me
December 11th, 2010
et j’ai couru. vers lui. vers son corps. sa virilité. son charme. mais surtout, vers mon fantasme. celui qui oppose la sagesse, le garçon bien sous tout rapport, au dévergondage. se laisser surprendre. se laisser aller. et se laisser baiser. dans les toilettes d’une grande institution culturelle. sans un bruit. sans éveiller les soupçons. il a fallu étouffer cette excitation qui envahissait mes mains. puis ma bouche et mes reins. dans le plus grand silence, s’agenouiller devant ce corps musclé. avaler ce sexe gonflé de plaisir. ne pas crier pour jouir. intérioriser l’orgasme. et déjà, penser au prochain fantasme.
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