i’m missing the countryside
December 31st, 2009
it can’t be simple
December 30th, 2009
comme rencontrer un mec, l’embrasser et le carresser. là. oui, là. devant tout le monde. devant cette faune assoiffée et droguée. se laisser surprendre par tant de puissance et d’enthousiasme. se laisser charmer par cet individu moustachu. qui ne vous lache pas et qui vous sourit. qui vous en redemande. des baisers enflammés. des baisers torrides sans complexes et avec passion. alors vous lui offrez, volontiers. et avec obsession, vous vous donnez. à lui, à cet inconnu. qui ne vous a pas dit son nom. et vous vous évadez. comme les vapeurs d’alcool s’échappe de vous. dans l’insouciance. et surtout l’inconscience de ne peut être jamais revoir ce barbu. alors la vie vous donne une deuxième chance. celle de le retrouver avec une grande improbabilité dans un état de sobriété. de noter son numéro et de vouloir encore être surpris. où souhaiter qu’il ne soit pas déjà pris…
i don’t want it this way
December 29th, 2009
et ni d’une autre façon d’ailleurs. pas d’attaches sentimentales. pas de relan puant d’amour. de “tu me manques mon amour”. non, non et non. on se voit que si je t’appelle. on se voit que si tu veux que je te baise. pas de “chez toi” ou “chez moi”. rien que toi et moi, deux heures et tu t’en vas. arrête de nous foutre mal à l’aise. je ne suis pas quelqu’un de bien pour moi, alors encore moins pour toi. ne t’attache pas à ma gentillesse ni à ma souplesse. j’ai l’oeil trompeur. et le reste aussi. arrête tes textos et tes bisous dans le cou. prends ce que je te donne et ne réclame rien. je te regarde parce que tu es beau, pas pour ce que tu vaux.
i like his style
December 27th, 2009
et la façon dont il se fait démonter aussi :
i hate xmas, but i love R’s present
December 26th, 2009
i’m still hungry
December 20th, 2009
pourtant, j’en ai eu trois. trois en moins d’une semaine. me voilà donc reparti en phase de boulimie. une faim insatiable. une obsession-compulsion. une envie irrationelle et incontrolable. j’en veux et il m’en faut. un besoin primaire irraisonné. alors je ne me maitrise plus. il faut en trouver. délicatement les chauffer, les préparer. leur donner cette prestance et cette fierté pour mieux se délecter. puis les goûter, les bouffer. les avaler. les engloutir. les faire disparaître à coups de langue. quitte à y mettre les mains. les sentir frémir et là… là, savourer ce plaisir intense et mécanique, physique et orgasmique, de ces bites qui jouissent, elles aussi.
i woke up and wished i was between them
December 19th, 2009
Bret Corrigan & Brent Everett… AGAIN !
i like paris tube #16
December 19th, 2009
i have sinned Father.
December 19th, 2009
être trompé, c’est douloureux. un vrai coup de poignard dans le coeur. c’est être la victime, ok c’est affreux. tromper, c’est psychologiquement moins lourd qu’être trompé, et l’on est vite soulagé une fois avoué. comme tout assasin qui se repent. mais, la position qu’on oublie trop souvent, c’est le trompeur. celui par qui le mal arrive. trop souvent oublié des histoires de coeur, pensant qu’il ne s’agit que d’un pauvre mec obsédé par sa bite (ou son cul au choix). et pourtant. pourtant être dans la peau du trompeur réuni à la fois les deux aspects de la tromperie. c’est être à la fois le bourreau et le martyr (surtout dans le cas où l’on connait les victimes). c’est de la schizophrénie. vouloir le bien pour répandre le mal. être conscient de la souffrance psychologique imposée aux deux corps étrangers. et à soi-même. mais ça dans l’instant, on l’oublie évidemment. la morale versus le désir. le mal versus le plaisir.
i don’t even know his name
December 14th, 2009
et c’est ça qui est bon. ne pas tout savoir. juste recevoir et se laisser porter. se laisser aller. s’enlacer. s’embrasser. baiser. soyons honnêtes. c’était ni plus ni moins que de la baise. on ne se déplace pas à quatre heures du matin pour prendre le thé. quelques tours de reins et un réveil plus loin, il fallait affronter la réalité. celle de se retrouver confronter à ses démons qui avaient pris forme pendant la nuit. il était là. étendu de tout son long de jeune homme endormi. je le regardais, je l’analysais. et non. décidement, encore un qui avait essayé, mais dont je ne retiendrais rien. même pas son nom.