time to leave
October 27th, 2010
happy you, happy me
October 27th, 2010
and happy birthday. ouais. un an de plus. les choses bougent. pas forcement en apparence. tout se passe en interne. pas de rides. non. mais de la maturité. ne plus courir. arrêter de découvrir. se laisser porter. se laisser vivre. s’armer de passion. non plus de patience. s’aimer. pour se sentir prêt. il viendra. ils viendront. tout dépend si je serai là ou de mes motivations. re-direction de mon énergie. épuisable. chaque année un peu moins fort. chaque année un peu plus stable. la sagesse, dit-on. j’ai clôturé les conversations. supprimé les comptes. envoyé balader les sans-réponses. une nouvelle ère. une nouvelle chair.
i like paris tube #26
October 15th, 2010
et le fantasme du sapeur pompier
RER D – vendredi 15 octobre – 9h20
who comes next
October 14th, 2010
on ne sait pas. on ne sait jamais. on croit toujours que ce sera le bon. le grand. le blond. enfin plutôt le brun pour moi. on l’espère fort. intelligent. et TBM. mais c’est toujours la roulette russe. et parfois on se tire une balle. en plein coeur. celui-ci était d’humeur romantique. j’ai eu le droit à la cour. c’est le cas de le dire… avec des compliments. une rencontre romanesque. un second rendez-vous. avec des baisers fous. une nuit. courte. mais prometteuse. puis une soirée manquée. un week-end “parenté”. et plus de messages. plus d’appels. plus personne. un vrai faux-départ qui fait mal. qui te laisse sur le bas côté d’une aventure que tu n’as pas conduite. un accident avec un responsable en fuite. l’incompréhension des sentiments. la confusion de la raison. tout s’emballe mais rien ne s’explique. ce n’est pas logique. je veux la fin de l’histoire. who comes next, me veut-on dire. je soupire. je veux savoir pourquoi et non pour qui.
i like paris tube #25
October 14th, 2010
ligne 1 – mardi 12 octobre – 18h30
another week end
October 3rd, 2010
rien de beau, rien de grand. non. rien d’amusant ni d’entrainant. la vie avance avec son flots d’ennuis, dans la mer de sourires narquois et de faciès désabusés. les larmes s’engouffrent dans ces corps vidés de sentiments et d’espoirs sans que personne ne puisse écoper. nagez braves gens, nagez pauvres hommes. gardez le cap. bandez haut et jouissez fort, sans en perdre le nord.