-iloveboys-

concert à l’Olympia ce soir. super. ce qui l’était moins, c’était l’attente entre la première partie et cette pute. parce que sur scène, c’est une vraie pute. mais une pute qui fait kiffer. tenue extra courte où l’on voit son cul. poses lascives. expressions érotiques. mimes d’actes sexuels. et même léchage de boules -private joke pour ceux qui étaient au concert ce soir-. le tout dans un délire pop art où le mot d’ordre est FAME. le nom de son album. et elle au moins, elle bouge. elle chante. elle parle même. what a surprise. elle échange avec son public et communique son énergie. par contre là, de l’énergie j’en ai plus. je suis rinçé. et demain… ISTANBUL. va falloir être au top… vive les turcs.

bah ouais. j’assume. j’aime trop que le mec jouisse sur mon visage. c’est ultra bandant comme situation. ça fait très soumis aussi. mais who cares. j’assume j’ai dit. mais encore faut il que j’arrive à bander. mes problèmes sont de retours. enfin CE problème. je bande les cinq premières minutes. puis plus rien. heureusement que mon politicien sait s’y prendre. enfin me prendre… et il bande longtemps. trop longtemps même. dix minutes après avoir jouit il bandait encore. du coup ça m’a excité pour de bon, mais il fallait se quitter. c’est malin. j’ai la trique et personne dans mon lit. maintenant reste à savoir si je reverrai le politicien. l’histoire est complexe. et surprenante. c’est un type qui me traque depuis trois ans. sans blague. ça fait PEUR. c’est le mec que j’ai croisé à La Loco qui m’a reconnu de Nantes. trois ans après. en mode amoureux secret. il m’a donné son facebook. puis son zéro-six. puis un rencard. puis sa bite. puis son sperme… et en bonus… une faciale :

et ce qui a de plus kiffant au concert de britney, ce n’est pas elle. non. elle ne chante pas. elle danse peu. elle est toute molle. et en plus elle est même pas foutue de dire deux mots en français. non. ce qui est kiffant à son concert, c’est ses fans. tous les pd de france et de navarre réunis en un seul et même endroit. le circus de cette bitch. tous ces mecs en transe et en transpiration, ça me rend ouf. ces corps moites et musclés se mélant à la foule en délire. voire même hystérique sur if you seek amy. j’ai certainement plus regardé les mecs aux pectoraux que la brunette au micro. parce que oui, elle s’est faite brune. quelle conne.

non seulement mon americain n’est pas circoncis, mais en plus il communique pendant qu’il baise. et ça c’est génial. il drive le truc quoi. tu sens que le mec il a un objectif et qu’il fera tout pour l’atteindre. une sorte de GI Joe du sexe. un mec qui sait ce qui veut. et qui te le fais savoir. mais en mode échange. un réel échange même. pas de déséquilibre. pas l’un plus actif que l’autre. chacun le meme pouvoir sur l’autre. alors on s’est baisé mutuellement. comme rarement j’ai baisé d’ailleurs. sur Lady GaGa… c’était un peu Las Vegas.

et c’est peut être pas une bonne idée. je sors donc tout juste de chez Moune. cabaret lesbien hype racheté depuis peu par le patron du Baron et du Paris-Paris. c’était cool. sauf que j’ai revu R. et je savais que j’allais le revoir. c’est comme un drogué qui va dans le quartier de son dealer. tu sais que tu vas le revoir. que tu vas en racheter. tu te persuades que non. que c’est fini. que tu as dépassé tout ça depuis longtemps. mais non. tu replonges. tu regoutes à ce que tu ne devrais pas. tu le revois. tu rediscutes. tu le rembrasses. tu lui redis que tu veux qu’il dorme chez toi. tu lui refais la totale. et c’est ça qu’est badant. parce qu’au final lui, le mec, il en a rien a foutre de toi. ou presque. enfin il répond à tes baisers. à ton affection. mais il veut pas plus. d’ailleurs il a un keum qui l’attend chez lui. alors tu lui fais moitié une scène. tu lui dis “viens chez moi, je paye le tacos”. mais non. tu montes tout seul. ALONE. tu payes le tacos ALONE. une fois de plus. tu rentres chez toi et t’es deg. deg que R soit pas avec toi en train de t’embrasser. en train de te pépom comme tu le voulais. en train de jouir à chaque passage de ta langue sur son gland. t’as plus qu’à te branler et te coucher. demain le réveil c’est huit AM.

et un putain de final

de voir que mon americain n’était pas circoncis. c’est fou ces fausses vérités qu’on se met dans le crâne. pour moi, un américian était FORCEMENT circoncis. bah la preuve que non. pas lui. mais c’était bien. disons qu’à la base j’aime pas circoncis. y’a rien à branler. faut saliver à mort. lubrifier. frotter. et puis une bite circoncise est beaucoup moins sensible. alors faut redoubler d’effort pour la titiller, l’exciter, la dresser. en tout cas, là avec mon ricain, c’était assez simple. tellement excité le bonhomme que j’ai pas eu besoin de faire grand chose. puis deux fois de suite. mmmhh, je vais l’appeler tiens.

pour la soirée officielle de la gay pride. entrée gratuite avec flyer. merci internet. heureusement car c’etait vint cinq euros sinon. faut pas abuser. ving-cinq euros pour avoir le droit de payer ta heineken huit. anyway. globalement c’était jeune. c’était over musclé. over enfumé aussi (dans le fumoir) mais bonne ambiance. trois salles. de quoi déambuler et provoquer les rencontres. en trois heures, trois numéros. un bon ratio. photos :