please, welcome drasko bogdanovic
March 14th, 2011
let me drop at the beardrop
March 7th, 2011
et laisse moi ressentir ce que je suis venu vivre. ce que je cherche et pour quoi je ne veux pas repartir. nous sommes là, ensemble, unis envers et contre rien. mais pour ça, le tout. se trouver et se rencontrer. les lumières. la fumée. des jambes et des shorts. des barbes et des muscles. des égarés et des convaincus. des maris faibles et dépourvus. avale et ne dis rien. bois et ne crache rien. va voir ailleurs si tu es toujours là. reviens nous et fais battre ton coeur. car soudain il sera l’heure. une explosion psychique aux dommages physiques. tu ne peux pas l’empêcher. il faut l’embrasser. peu importe qui. il te faut cette bouche. là, ici. celle-ci. ou celle-là. peu importe, il te faut ses bras. te sentir entouré pour ne pas tomber. qu’il te serre pour sentir ton corps. que tu le touches pour sentir son pouls. caressons nous, oui, soyons fous. suis-moi et fais-moi le chien. ferme à clé et n’abois pas. mords ça et fais-moi du bien. retourne-toi et reviens-y. j’ai envie de toi, mais plus ici.
lunch is served
March 4th, 2011
you’re never where you should be
March 2nd, 2011
et ça commence dès ce matin. qu’est ce que tu fais là. tout seul dans ton lit. à penser à lui. puis à celui-là. tu voudrais être dans ses bras. et le lendemain dans son cul. mais pas à lui. non. à l’autre. bonjour boulimie. bonsoir schizophrénie. avant mes cycles étaient intenses mais respectés. un mois tout au plus. d’envie bestial. de sexe anal. puis je me dégoûtais. me fatiguais. alors je replongeais dans cet autre cycle. celui de l’abstinence. je voulais être amoureux. lui toucher les cheveux et m’endormir heureux. maintenant, me voilà perturbé. sans plus rien respecter. à me masturber le jour. me faire pénétrer le soir. et vouloir te voir. tous les soirs. j’accélère le mouvement. avant le denouement…
bearded guys are so sexy
March 1st, 2011
the affection is an addiction
February 17th, 2011
comme le sexe. touché, caressé, frôlé, massé, enlacé. ça a du bon parfois. on en oublie presque que nous sommes des mâles sensibles. des hommes de coeur au cul chaud. que des preuves d’affection sont tout aussi bandantes qu’un gangbang. inconnu de l’instant, anonyme de sentiments. toi avec qui j’ai passé un moment. je t’ai aimé pour ce temps. quatre heure et deux éjaculations plus tard, il fallait se dire au revoir. comme si nous allions nous revoir.
happy valentine’s day
February 15th, 2011
ou comment ignorer cette journée. sans valentin, c’est tout de suite plus simple aussi. je n’ai donc pas UN valentin. non. j’en ai plein. surtout des bourins. qui disent qui m’aiment quand ils me prennent. à quatre pattes, en cuillère ou en l’air, ils me font du bien, mes valentins. je les suce, ils me doigtent. j’en redemande et me cambre. ils kiffent ça, mes valentins. je leur promet jamais rien, non, même pas un bout de chemin. j’ai arrêté de croire au prince charmant et toute ces histoires. je ne suis plus un gamin. non. surtout depuis que j’aime les bons coups de reins. heureuse saint valentin.
and i wanted it rough
February 8th, 2011
je l’avais précisé par texto. “un peu domi”. dans mon inconscient qui s’excitait déjà, je me voulais soumis aux ordres d’autrui. me laisser faire et ne rien pouvoir y faire. être controlé. maitrisé. m’abandonner. ne serait-ce qu’un instant, ne plus pouvoir décider. je l’ai voulu et je n’ai donc pas eu le choix. me mettant à terre et me crachant à la gueule. de sa bite à la main, il me dominait. j’encaissais donc ses coups que j’avais prémédité. je les avalais même. sans perdre un centimètre. je perdais conscience de ma présence. seules mes pulsions sous ses impulsions me guidaient et me faisaient bander. aucunes blessures ni égratignures. non. rien que du sexe et un peu d’amour.
and it never ends
February 7th, 2011
and you looked at me
January 27th, 2011
comme si cela était surprenant. comme si je ne devais pas être là ce soir. alors que tu commentais le matin même le statut facebookien d’un ami commun. sur cette représentation à laquelle j’avais pris ma place. je savais. tu savais. nous savions. ce que tu ne sais pas, c’est ce que j’ai pensé. oui. ce que j’ai pensé de toi. de ton interprétation. ton rôle. insignifiant. sur-joué. insipide. mediocre. en revanche, ton rôle de connard qui ne donne pas signe de vie pendant six mois, ça, ça vaut un oscar.